les aventures de dan...

j'ai un problème dans la vie. je suis un aimant à freak, si il y a un freak dans un rayon de 100 pieds, c'est clair qu'il va me spoter et me coller au cul. des fois c'est une malédiction, d'autre fois, c'est une bénédiction. des jours ou j'ai envie de me faire sauter les plombs ou j'ai le goût de tout sacrer là et de partir torcher le cul d'éléphants lépreux au tibet, presque à chaque fois, un freak va me sauter dessus et réussir à m'aracher un sourire, une fleur que je vais presser dans mon srapbook.

le problème là dedans c'est que parfois c'est tellement débile que quand je raconte ça à mes chums, les gens rient, mais chu sur qu'ils pensent que j'en invente par boutte. de là l'utilité de ma nouvelle caméra digitale... maintenant je vais avoir des preuves de ce que je raconte.

ce qui m'amène à la semaine passée alors que je revenais de la confection des décors d'un petit film d'annimation pour le sepctacle du chevreuil observateur je prends le métro à la station la salle, il est tard, les vagons sont presque vides, je choisi le premier du bord et dès que je met le pied dedans, un homme arabe me crie après et m'invite à aller le rejoindre, ce que je fais car il avait le sourire large comme un croisant frais du jour... il m'offre un café de son thermos, j'essai de lui expliquer que j'ai jamais bu de café de ma vie et que c'est par pité pour mes proches que j'en prends pas, déjà que je parle vite, je veux pas me voir après 4 cafés.

donc le petit monsieur, insiste, je fais semblant d'en prendre une grosse gorgée... je lui redonne sa tasse, on arrive à une autre station, un jeune homme entre, mon nouvel ami l'invite à venir s'assoir avec nous et nous annonce que l'on va fumer le shisha, je suis crampé de rire, notre nouvel ami aussi... on est à peu près une dizaine dans le vagon, tout les gens nous observent... le monsieur sors de son sac une pipe, allume une briquette et nous voila dans le métro de montréal fummant le narghile en toute clandestinité. on s'est pas dis grand chose le temps de se rendre à la station berri, mais on s'est bidonné comme des cons.