je me questionne beaucoup à propos de ma démarche d'artiste (pouet pouet), à la veille de reprendre mes pinceaux et de m'attacher à mon chevalet pour préparer une nouvelle exposition, je passait à travers mes cahier de croquis et carnets de notes pour me rendre compte que je me suis toujours questionné à propos de la nature de l'oeuvre d'art et la représentation du monde qui nous entoure. depuis un an à peu près je m'ouvre les yeux et suis plus attentif à celui ci et ce qui me facine ces jours-ci c'est à quel point des petits bouts de la décripitude urbaine pourraient faire d'excelents sujets si on les sortaient de leur contexte. c'est con mais, parfois, je découperais des petits bouts de murs et les metteraient dans mon folio, juste pour le fun et voir ce qu'en penserait les tenants des galleries gurlu gurlu de montréal.
je me suis laissé prendre au jeu y'a deux semaines alors que j'allais travailler un peu sur le
ravage du chevreuil observateur c'est alors qu'un mur que j'ai vu des dizaines de fois s'est révellé à moi, je l'ai photographié, cadré et je le regarde et je me dis, tel quel c'est drette ça... mais je suis sur que rafait à l'huile, je pourrais avoir un peu de bidoux pour ça... j'entends dans ma tête une voix à la edgar fruitier me dire 'très intéressant, il y a quelque chose de rothko mais avec un petit quelque chose, de ma foi... tellurique dans cette composition...' (rires)
en fait ce n'est que le mur d'une vulgaire shed, un abris à tondeuse et autre weedeater de ce monde. c'est un peu comme exhiber une craque de fesse, la photographier en gros plan, de sorte à ne voir que la craque de très près, lui acoller le titre un titre comme 'voluptueuse poitrine' et rire comme un gros con à voir la bouille des gens apprécier le gros plan de craque de plombier comme s'il était question de grace et de volupté. bon ok, j'ai rien inventé, j'entends les duchamps et warholl qui me crient un gros 'boooooooooooooring', j'avoue, c'est un concept surané, mais bon ca me plait bien d'y penser un brin en sirotant ma tasse de thé.
je me suis laissé prendre au jeu y'a deux semaines alors que j'allais travailler un peu sur le ravage du chevreuil observateur c'est alors qu'un mur que j'ai vu des dizaines de fois s'est révellé à moi, je l'ai photographié, cadré et je le regarde et je me dis, tel quel c'est drette ça... mais je suis sur que rafait à l'huile, je pourrais avoir un peu de bidoux pour ça... j'entends dans ma tête une voix à la edgar fruitier me dire 'très intéressant, il y a quelque chose de rothko mais avec un petit quelque chose, de ma foi... tellurique dans cette composition...' (rires) 
en fait ce n'est que le mur d'une vulgaire shed, un abris à tondeuse et autre weedeater de ce monde. c'est un peu comme exhiber une craque de fesse, la photographier en gros plan, de sorte à ne voir que la craque de très près, lui acoller le titre un titre comme 'voluptueuse poitrine' et rire comme un gros con à voir la bouille des gens apprécier le gros plan de craque de plombier comme s'il était question de grace et de volupté. bon ok, j'ai rien inventé, j'entends les duchamps et warholl qui me crient un gros 'boooooooooooooring', j'avoue, c'est un concept surané, mais bon ca me plait bien d'y penser un brin en sirotant ma tasse de thé.
No comments:
Post a Comment